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Le Festivaal 2017

Informations pratiques

Le premier Festivaal de la rue du Transvaal a eu lieu le 2 septembre 2017.

La première édition du Festivaal, dans le quartier du Petit Port à Nantes, au n°29 de la rue du Transvaal, dans le jardin d’une maison, un écosystème qui favorise les hybridations, transformé en tiers-lieu de vie, de créations polymorphes émergentes pour inventer de nouvelles pratiques participatives décalées, de nouvelles solutions inédites et partager l’innovation, l’émulation, qui répondent précisément aux attentes d’impératifs, en particulier dans des domaines liés aux nouveaux enjeux qui assiègent nos consciences !

Des lectures, des expositions, du théâtre et des chansons.

Et tout au long du Festivaal la découverte des lampes de Sébastien Struck, ou des natures mortes de James Orvell, la présence de grandes marionnettes manipulables, la possibilité de créer son personnage imaginaire avec d’authentiques costumes de théâtre.

À propos

Programmation :

18h : Lecture de la pièce de théâtre Le jardin de Zinnie Harris traduction Blandine Pelissier par Marie-Laure Crochant et Jérémy Colas, mise en voix Jean-Marie Lorvellec

Le jardin est un conte doux d’amour sur l’effondrement de notre monde. Un couple d’âge moyen essaye de survivre alors que les températures mondiales ne cessent d’augmenter. L’approvisionnement en eau devient intermittent et l’espoir vient à manquer. Jane a subi un traitement pour une dépression, elle reste cloîtrée. Mike travaille sur un projet qui dure depuis sept ans sans succès. Un pommier commence à traverser le lino de la cuisine du couple.

20h : Le bureau de tabac, un poème signé d’Alvaro de Campos, l’ingénieur désabusé, l’un des hétéronymes du poète portugais Fernando Pessoa.

C’est l’un des tous derniers écrits de cet auteur(s), un poème saccadé, qui chante la chanson de l’échec infini, dans une ironie lucide enivrante. Poème dit par Denis Renault, ingénieur amusé.

21h : Il était une fois un arbre.

Dans une ville. Un coin de verdure au milieu de la civilisation. Un « tiers-paysage » dirait Gilles Clément. Le problème, c’est que personne n’en veut. « Il pue » disent les habitants et ils s’unissent tous pour tenter de le détruire. En vain. L’arbre repousse sans cesse, il faudra bien déplacer son regard pour en comprendre « la nature primordiale ». Le poème de John Giorno est un texte vertigineux, inclassable, profondément musical. Il est une invitation poétique à méditer sensiblement sur notre appréhension de la nature. La comédienne Marie-Laure Crochant et le musicien Stéphane Fromentin s’en emparent pour proposer une lecture performative en français, en plein air et en sons, où les mots de Giorno entrent en résonance immédiate avec le paysage environnant. Ils restituent la beauté et la force du texte original et plongent l’auditeur dans cette jubilation douce propre au poète.

22h : Jean Lorvel, chanteur à texte, présente son tour de chant participatif.

Jean Lorvel a reçu en héritage une voix puissante et l’amour de la belle langue. Il présente une traversée de ses propres textes et des poèmes de Joë Bousquet ou Frank Wedekind qu’il a mis en musique.

Et tout au long du Festivaal

Découvrez les lampes de Sébastien Struck

Caressez les natures mortes de James Orvell

Devenez manipulateur de marionnettes

Créez votre personnage imaginaire avec d’authentiques costumes de théâtre

Impromptus

Bar

Surprises